Solar 7 de Tommy Tayoro Nyckoss profite du climat africain pour intégrer l'énergie solaire.

Situé dans la région de la Corne de l’Afrique au croisement du Golfe d’Aden et de la Mer Rouge, le Djibouti couvre une superficie de 23000 km sous des conditions climatiques arides à semi-aride et une population dépassant 800 000 habitants.

Plus de 90% des besoins en eau sont assurés par les eaux souterraines qui, sous l'effet de l'évolution démographique, sont soumises à de fortes pressions. De plus, l’urbanisation et l'installation de nouvelles populations engendrent des risques potentiels de pollution des nappes d'eau souterraines. 

Le sur pâturage, la forte demande en bois pour l'énergie et l'extension des pratiques agricoles sont les principaux facteurs de dégradation du couvert végétale.

Actuellement, la majorité des chercheurs affirment le changement de climat à Djibouti est dû suite à cinq sources majeures de pollution. L’utilisation du bois pour la cuisson des aliments et le brûlage des déchets à ciel ouvert sont de plus en plus pointés du doigt pour leurs fortes concentrations de particules fines, le trafic routier les industries agroalimentaires et chimiques, sans oublier les poussières de sable du Sahara transportées par les vents à travers la zone sahélienne, accentuent le phénomène, surtout pendant la saison sèche.

L’Afrique en générale qui étouffe sous la pollution urbaine. Toutefois, les gouvernements africains ont réagi face à ce désastre. En mai dernier 2019, la Tanzanie est le 34e pays africain à interdire l'usage des sacs plastiques qui polluent le paysage urbain.

Tous les citoyens qui jettent des déchets plastiques encourent une amende de 390 000 euros ou une peine de prison d'un an et demi. Quant aux détenteurs de sacs, ils encourent une amende de 79 euros.

Depuis août 2017, Au Kenya, la loi est devenue très rude et prévoit jusqu'à 32 000 euros d'amende et quatre ans de prison : fini les «papier toilettes» ou les déchets plastiques qui défigurent les mythiques collines de Ngong.

C'est le même cas concernant l'importation des voitures anciennes venues d'Europe. Le Sénégal a récemment interdit l'entrée de tout véhicule de plus de huit ans sous peine d'être « réexporté dans un délai de deux mois ou détruit à l'expiration aux frais du propriétaire ou de l'importateur, sans préjudice d'une pénalité de 2 millions de francs CFA ». À ce jour, Dakar concentre 70 % des véhicules en circulation au Sénégal et représente la 91e ville la plus polluée au monde.  

Solar7 et la vision de Tommy Tayoro Nyckoss contre la pollution au Djibouti :

Solar 7 est une entreprise qui se veut être distinguée. En effet, ce projet fondé par Tommy Tayoro Nyckoss vise à proposer des solutions durables et efficaces afin de minimiser tout type de pollution à Djibouti. 

Dans le secteur du kit solaire prêt-à-monter, l’entreprise Solar 7 se positionne comme une icône de référence. Cette entreprise basée à Djibouti assure le dimensionnement d'installations solaires puisque le bon dimensionnement d’une installation est une étape essentielle à maîtriser. Solar 7 serait alors une bonne alternative contre la pollution à Djibouti.

La pollution d’air à Djibouti :

Le Djibouti connaît une pollution croissante. Cette dernière est renforcée par une démographie et une densité urbaine accrues. En effet, les risques épidémiologiques et sanitaires qui sont en rapport direct avec la détérioration de la qualité de l’air sont en train d’augmenter rapidement. De plus, les décès prématurés causés par la pollution atmosphérique ont ainsi connu une hausse de 36 % en Afrique en 2014 selon une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

La pollution de l’eau à Djibouti :

La question de l'eau reste l'une des équations les plus difficiles à résoudre en Afrique. Afin d’apporter des solutions qui répondent à chaque problématique locale, il s’agit tout d’abord d'innover, et ce en développant des remèdes sur mesure, pragmatiques et agiles, et en misant sur des partenariats locaux. Le Djibouti souffre avant tout d'un manque d'infrastructures de distribution et d'assainissement qui permettraient aux populations d'accéder à l'eau potable.

 Déchets plastique :

Des militants écologistes djiboutiens ont déclaré que la pollution plastique s’aggrave à cause de la présence humaine grandissante aux abords des fleuves et du manque de moyens de la municipalité. Ces militants demandent qu’une législation soit rapidement mise en place pour réduire la production de plastique ainsi que la création d’infrastructures pour nettoyer la pollution déjà existante.

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